Eiffel était terrifié à l’idée que l’on se débarrasse de son chef-d’œuvre pour cause d’insignifiance… vous connaissez la suite ! Mon récit n’a rien à voir avec ce génie, mais avec l’auteur d’une diatribe ! Surtout lorsqu’elle résume à la perfection la maxime de toute fièvre sentimentale : « Elle était si jolie. J’étais si désespéré ».
Alors, muni de mes deux outils de prédilection, constance et ouverture, je sonde au plus près mes regrets, mes remords, mes dommages, en fait tout ce qui colle interminablement à l’esprit et à l’étage en dessous : le cœur !
Force est de reconnaître que je commence à maîtriser mon sujet, quitte, parfois, à charger démesurément la carriole de mes tendres années. Heureusement, avant le châtiment il y a le ravissement…
Savall